Archives pour la catégorie Questions fondamentales

Les questions à se poser.

Une petite émission intéressante

Une petite émission datée du 13 octobre 2015, avec Marion Kaplan comme invitée :

Je ne connais pas cette radio. Je suis tombé sur cette émission en cherchant des podcasts dans lesquels a été invitée Marion Kaplan. Je vous laisse forger votre propre opinion via l’écoute du podcast.

N’hésitez pas à partager votre avis via les commentaires.

Vinylmania

Depuis quelques années, de nombreux formats, physiques ou numériques, ont tenté de supplanter le microsillon. Mais force est de constater que cet « objet », artistique et sentimental pour certaines personnes, inaudible et faisant partie du passé pour d’autres. Affectionner un album a souvent amené l’auditrice ou l’auditeur a vouloir « posséder » le disque. Cela a souvent été le début d’une collection, plus ou moins fournie.

Le vinyle fait un retour en force, après avoir été enterré à plusieurs reprises. Il en sera de même pour son successeur le CD. Et la bonne vieille galette à sillons à même fait l’objet d’un documentaire diffusé sur Arte.

Les très jeunes générations ne jurent que par le mp3 et l’écoute en streaming. Mais je pense que cela n’est qu’une mode et ne prendra jamais la place des versions physiques. Une fois que la « musique jetable » ne sera plus produite en masse, le retour au vinyle et au cd se fera progressivement.

Qu’en pensez-vous ?

Les magasins d’applications : attention, prison dorée !!!

Les plus jeunes d’entre vous ne connaissent peut-être que les magasins de logiciels ou d’applications, principe rendu célèbre par le fameux « app store » de la firme Californienne  Apple, suite à la commercialisation de la première génération de son mondialement connu « Iphone ». Cela a depuis été adopté sur les environnements mobiles et informatiques concurrents. Apple a aussi ajouté un « Mac App Store » à son système d’exploitation pour ses ordinateurs. Les consoles deu jeux de salon et portables bénéficient aussi de logiciels (jeux) dématérialisés. Les « tablettes tactiles Kindle » du géant du commerce en ligne Amazon  sont aussi un très bon exemple, l’app store maison existant déjà depuis un certain temps.

Mais Il n’y a pas si longtemps, les logiciels pour Microsoft Windows et MacOsx étaient proposés en versions boîtes (disquettes puis cd et dvd).

L’avantage des versions boîtes : le fait de pouvoir vendre d’occasion ce dont l’on n’a plus besoin et ne pas entrainer une éventuelle dépendance envers une marque.

Avec le dématérialisé, ce n’est pas le cas. Acheter des jeux ou logiciels sur ces stores amène les utilisateurs à être « pris en otage » par les marques qui commercialisent les appareils dépendants de ces plate-formes. cela peut les inciter à investir dans les futures versions du smarphone ou ordinateur phare d’une ou plusieurs marques afin de s’assurer d’avoir la possibilité de pouvoir continuer à profiter de leurs investissements.

Enfermer les utilisateurs dans leur écosystème, c’est que la Pomme a réussi à faire en très peu de temps. Ce succès a poussé les autres entreprises du secteur à tenter d’intégrer ce marché, avec plus ou moins de difficultés.

Ce qui peut apparaître comme une « révolution technologique » aux yeux de certaines personnes est pour moi une régression. N’importe quel moyen permettant de rendre les utilisateurs accrocs à leurs produits est bon à prendre pour les acteurs du secteur.

La méfiance est donc de rigueur.

Non à l’intégration de DRM dans le HTML 5

L’industrie culturelle du Pays de l’Oncle Sam ne recule devant rien. Le dernier caprice en date , imposer l’implémentation d’outils de gestion de DRM directement dans le code HTML5 dans le but de contrôler l’utilisation des fichiers vidéo, audio en rapport avec leurs productions  par exemple.

Leur lobbying est désormais orienté en direction du W3C (World Wild Web Consortium). Google, Microsoft, Netflix, the BBC, se sont bien évidemment ralliés à cette proposition. Cela irait à l’encontre des principes fondamentaux défendus jusque là par le W3C.

Les Américains veulent imposer leur vision du web, tout contrôler. Mais cela n’a pas l’air de déranger nos « chers » dirigeants.

Si vous souhaitez réagir, montrer votre mécontentement envers de telles pratiques, vous avez la possibilité de signer la pétition « STOP DRM IN HTML5« .

La traduction de la pétition a été effectuée par l’association APRIL, dont le slogan est « promouvoir et défendre le logiciel libre ».

Il faut refroidir les ardeurs de l’hégémonie américaine. Nous ne pouvons pas rester inertes face à ce genre de choses.

Défendons l’interopérabilité, la liberté, la neutralité du web.

N’hésitez pas à informer vos proches.

Informatique dans les nuages, danger ?

Depuis quelques années, il y a une façon d’organiser les données informatiques qui est souvent évoquée, à savoir ce que l’on appelle plus familièrement « CLOUD« . Pour celles et ceux qui ne sont pas très familiers avec la langue de Shakespeare, nous pouvons désigner cela par informatique dans les nuages.

Dans tous les cas, peu importe les termes utilisés. Ces deux dénominations concernent le stockage de données informatiques dans lu nuage, sur les serveurs de sociétés qui proposent ce genre de services.

Personnellement, je ne considère pas cela comme un progrès et pense que cette alternative peut se révéler dangereuse au niveau de la sécurité et de l’accès aux informations sauvegardées ainsi. Et en ce qui concerne les entreprises, comment faire lorsqu’il y a une coupure de la connexion ?

C’est pourquoi j’ai pour habitude de privilégier les traditionnels disques durs, faciles à remplacer et qui ne nécessitent pas de demander la permission de consulter nos propres données.

Qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à participer via les commentaires.

Laser ou jet d’encre !!!

Marginale il y a une vingtaine d’années, indispensable de nos jours, l’imprimante nécessite un choix technologique avant même de se décider pour une marque. Les deux options actuellement proposées sont : le laser et le jet d’encre.

Chacune a des avantages et des inconvénients :

Les imprimantes laser et les  toners sont toujours assez onéreux. Par contre, la vitesse d’impression est un confort non négligeable. Si l’on a pas de photos ou de documents à éditer en couleurs, il est préférable de se tourner vers une machine laser monochrome. Et posséder un multifonction laser monochrome permet d’avoir un mini photocopieur maison.

Les imprimantes jet d’encre ne coûtent pas grand chose. Mais contrairement à la technologie laser, le jet d’encre nécessite une utilisation fréquente, au risque de se retrouver avec une tête d’impression bouchée et des cartouches inutilisables.

Longtemps réservées aux professionnels, les imprimantes laser commencent à s’afficher à des prix abordables.

Après avoir testé les deux, je suis devenu un inconditionnel du laser.

Bandcamp, formidable pied de nez à l’industrie musicale !!!

Depuis quelques années, les dinosaures de l’industrie musicale nous rabâchent les mêmes tirades sur un ton plus que dramatique. Face au concept dépassé et archaïque des majors, des netlabels ont vu le jour, comme Blocsonic par exemple.

Puis, un projet nommé Bandcamp est apparu. Bandcamp a réussi là où les majors ont échoué, c’est-à dire permettre aux artistes d’avoir un contact direct avec leurs fans, de pouvoir les supporter en sachant où va l’investissement, de pouvoir télécharger les albums dans des formats dignes de ce nom tels que « ogg« , « flac » au lieu du vulgaire mp3 dont la qualité sonore laisse franchement à désirer.

Le catalogue d’oeuvres disponibles n’a pas à rougir face à celui des mastodontes du siècle dernier. Et ce qui est un atout indéniable par rapport aux plate formes légales d’écoute en streaming du style Deezer, c’est le fait qu’il n’y a pas de restrictions relatives au nombre de fois que l’on peut jouer un morceau. La majorité des genres musicaux sont représentés. Les artistes n’ont plus l’obligation de signer un contrat auprès d’une maison de disques pour monétiser leurs créations et récupèrent ainsi une plus grande partie des revenus engagés par ceux et celles qui achètent leurs chansons.

Depuis que je fréquente régulièrement Bandcamp, j’ai pu découvrir de nombreux artistes qui ne seront jamais diffusés à l’antenne de nos chères radios nationales car pas formatés pour.

Bandcamp est une formidable alternative pour celles et ceux qui comme moi, en ont marre d’entendre les mêmes rengaines matraquées plusieurs fois par jour depuis des années lorsque l’on écoute Nostalgie et compagnie.

Quel webmail choisir ?

Depuis que tout un chacun peut accéder au réseau des réseaux, il y a un usage qui est indissociable : posséder un compte email. La consultation et l’envoi de nouveaux messages peut se faire de deux façons ; se rendre directement dans l’interface du webmail dont dépend le compte créé ou utiliser un logiciel du style Thunderbird, installé sur notre machine.

Mais qu’est-ce qu’un webmail ?

Un webmail est un service de boîte email (courriel) accessible via une adresse internet du genre https://mail.opera.com/

Mais quel webmail choisir ?

Les plus connus sont Gmail de Google, Yahoo, Outlook.com (anciennement hotmail de Microsoft. Il y a aussi la possibilité d’utiliser le service de boîte email proposé par le fournisseur d’accès où l’on est inscrit. j’ai testé ces derniers. Aucun ne m’a convaincu.

Mais si l’on ne souhaite pas utiliser ces services ? Vers quelle alternative se tourner ?

En ce qui me concerne, il s’agit du webmail mis à disposition par l’éditeur du célèbre navigateur web Opera, à savoir My Opera Mail.

Pourquoi ce choix ?

La raison principale : c’est un service d’une entité scandinave et pas américaine.

L’interface utilisateur contient l’essentiel. Point positif : pas de publicité ciblée. Le chargement de la session est très rapide.

Si vous en connaissez d’autres, aussi marginaux que My Opera Mail, n’hésitez pas à les indiquer via les commentaires.

Les Podcasts, source d’informations très intéressante

Depuis quelques années, il n’est plus nécessaire de rester à côté du transistor pour profiter de nos émissions radiophoniques favorites. Cela est possible grâce un concept très simple : le Podcast ou baladodiffusion, qui consiste à télécharger les émissions que l’on affectionne, soit en passant par un logiciel (iTunes pour Macosx et Microsoft Windows et gpodder pour les distributions GNU/Linux), soit directement sur les sites des stations.

D’autres sites, autres que ceux des Radios, proposent aussi des podcats. Par exemple, le site spécialisé dans l’actualité des Jeux Vidéo « Gameblog.fr ».

La majorité des radios les plus connues de la bande FM proposent l’intégralité ou une partie de leur grille de programmes. Les thèmes abordés sont nombreux, ce qui permet à tout un chacun de trouver son bonheur.

Parmi mes rendez-vous réguliers, il y a entre autres :

Rayon humour :

Les Grosses Têtes (RTL)

Les Grosses Têtes Dans La Nuit Des Temps (RTL)

Laurent Gerra (RTL)

Actualités Nouvelles Technologies :

De Quoi J’me Mail (RMC)

L’Atelier Numérique (BFM Radio)

Place De La Toile (France Culture)

Univers Apple :

On Refait Le Mac

Débats :

Du Grain à Moudre (France Culture)

Musique :

Sagas par George Lang (RTL)

Les Nocturnes (RTL)

Jeux Vidéo :

Les Podcasts Gameblog

Libélabo Silence On joue

Les Podcasts MO5

Ce média est une formidable source d’informations. Depuis que ce mode de diffusion existe, je n’ai plus utilisé de transistor traditionnel.

Si vous écoutez aussi des podcasts, n’hésitez pas à les indiquer via les commentaires.

Lassitude à propos de Facebook au pays de l’Oncle Sam

Je viens de tomber par hasard sur un article qui évoque la lassitude grandissante des Américains envers Facebook. Cela ne me surprend pas vraiment. Le service mis en place par Mark Zuckerberg m’a toujours laissé dubitatif quant à son éventuelle utilité depuis son ouverture.

Nombreux sont ceux qui n’ont eu de cesse de me vanter les mérites de ce fichage mondial, en vain. L’internet existait bien avant Facebook et n’a pas eu besoin de ce dernier pour se développer. Les réseaux sociaux ne sont qu’une mode éphémère, qui contrairement au bon vieil email, ne dureront pas des années encore.

Je pense que Twitter et Google+ se retrouveront tôt ou tard dans la même situation. Les géants Américains n’ont, à mon avis, pas besoin de forcer la main d’une partie des internautes en ce qui concerne le fait d’étaler des informations qui relèvent de la vie privée et qui ont une grande valeur marchande pour eux.

Une simple phrase résume très bien cela :

Si quelque chose est gratuit, c’est que vous êtes le produit.

Même si États-unis ne sont pas les seuls à récupérer des données utilisateurs, j’ai tendance à fuir les services en provenance d’Amérique du Nord.