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Les questions à se poser.

Pourquoi j’écoute de la musique asiatique ?

Ces dernières années, les phénomènes KPOP et JPOP prennent de plus en plus d’ampleur, sans oublier la CHINESEPOP ainsi que la VIETPOP.

En employant ces termes, je fais bien entendu référence à la musique pop Coréenne, Japonaise, Chinoise et Vietnamienne. La VIETPOP est encore marginalisée. Mais plus pour très longtemps je pense.

Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à la musique asiatique, ce fut principalement en raison d’un ras le bol de la majorité des productions des majors occidentales et l’envie de découvrir de nouveaux horizons musicaux. J’ai tendance à laisser de côté ce qui est produit des deux côtés de l’Atlantique, des deux côtés de la Manche, à part les grands classiques du genre QUEEN, THE YARDBIRDS, THE MAMAS AND THE PAPAS, DAVID MCWILLIAMS, etc…

Il y a bien évidemment du bon et du mauvais, comme en occident. Mais les oeuvres qui valent le détour sont plus nombreuses. Et quand j’entends un extrait des dernières bouses hexagonales, comme par exemple la compilation Génération Goldman, je n’ai aucun mal à aller voir ce qui se fait à l’autre bout du monde.

Tout ce qui est un peu rythmé par chez nous ne me branche guère. Par contre, le même genre de chose à la sauce asiatique, avec le charme des différents dialectes de ces contrées me plaît. Pourquoi ? Comment ? Je ne sais pas. Il faut croire qu’ils se débrouillent mieux que leurs homologues Français, Américains, Anglais, etc…

Il y a eu la fusée PSY avec son Gangnam Style. Mais il ne faut pas réduire la KPOP à cela. De nombreux artistes méritent d’être connus : ALI, BAEK JI YOUNG, PARK JUNG HYUN, RAINBOW, YOUNHA, YANGPA, et beaucoup d’autres. En ce qui concerne la JPOP, je vous conseille KANON WAKESHIMA, UTADA HIKARU, FLOW, MIKA NAKASHIMA, KOKIA, ZARD, YUI, SAINT VOX, MAI KURAKI par exemple. Rayon VIETPOP, j’aime beaucoup les chansons des chanteuses NHU QUYNH, NHU LOAN et MINH TUYET.Et en provenance de la Chine et de Taïwan, j’apprécie les disques de chanteuses telles que RAINIE YANG, GENIE ZHUO, SA DING DING.

L’intérêt grandissant pour ces courants musicaux amène bien souvent les aficionados à développer une passion pour ces pays. Et nombreuses sont les personnes qui affectionnent ces styles musicaux et qui rêvent d’aller visiter ces pays au moins une fois dans leur vie.

Se limiter aux chansons dont on comprend la langue utilisée nous fait passer à côté de nombreuses choses intéressantes.

Si la lecture de ces quelques lignes provoque en vous de la curiosité, vous pouvez me poser vos questions. J’y répondrai volontiers, en fonction de mes connaissances.

 

 

Le déclin de la presse papier

S’il y a un secteur qui ne va pas très bien depuis ces quinze dernières années, c’est bien la presse papier.

Après une longue période faste et génératrice de revenus, les éditeurs ont subi de lourdes pertes. De nombreux titres ont fini par disparaître des rayons, faute de rentabilité. Récemment, ce fut Mer7, éditeur de magazines tels que Micro actuel, Joystick, Consoles+, Pc Jeux et quelques autres fiers représentants d’une époque révolue qui s’est retrouvé en liquidation judiciaire vers la fin de l’année 2012.

Il est vrai que les choses ont commencé à dégénérer lors de la démocratisation d’internet. Se séparer d’espèces sonnantes et trébuchantes pour du contenu auquel l’on peut avoir accès sur la toile n’intéresse plus grand monde. Les rédactions n’ont pas réussi à se renouveler et mettent la clé sous la porte les unes après les autres.

L’expansion des smartphones permet de s’abreuver d’informations à n’importe quel moment de la journée et n’importe où. Donc, il n’y a désormais plus aucun intérêt à s’encombrer de revues qui perdent rapidement de leur attrait vu que tout évolue en permanence.

Internet n’est pas le seul responsable. Acheter un magazine ou une revue et se rendre compte que la moitié des pages renferme de la publicité donne l’impression d’être pris pour un abruti. Il est tout à fait compréhensible que les éditeurs aient un retour sur investissement. Mais on ne décide pas d’acquérir ce genre de publications pour cela. Messieurs les éditeurs, pensez-y avant de vous demander pourquoi les ventes chutent inexorablement.

Les rescapés vont devoir se diversifier et proposer du contenu original s’ils souhaitent trôner encore un moment dans les kiosques.

Le Cashback, qu’est-ce donc ?

Même si mes débuts de cyber-acheteur furent compliqués, en raison de fortes réticences en ce qui concerne le fait d’utiliser ma carte bancaire sur des sites de vente en ligne, j’ai depuis fais mes armes et acquis un peu d’expérience.

Lorsque je souhaite commander quelque chose en parcourant les vitrines virtuelles des mastodontes du commerce sur internet, je cherche bien évidemment à économiser un maximum. Je pense ne pas être le seul dans ce cas.

C’est pourquoi, lors d’une de mes promenades quotidiennes sur la toile, je suis tombé (pas physiquement) sur un article qui évoquait le principe du Cashback. Qu’est-ce que le Cashback ? Pour résumer, il s’agit de récupérer un pourcentage du prix hors taxes de l’article qui a retenu notre attention, par l’intermédiaire de services tels qu’Igraal.

Les enseignes qui ont décidé d’adhérer à Igraal sont accessibles via la barre outil Igraal, compatible avec les navigateurs internet les plus connus, à savoir Mozilla Firefox, Apple Safari, Google Chrome, Microsoft internet Explorer ou tout simplement en consultant la page Marchands sur le site d’Igraal.

Lorsque vous atteignez vingt euros, vous pouvez obtenir les précieux euros par virement ou paypal. Et une fois le palier de trente euros atteint, une troisième option vous est offerte sous la forme de l’envoi d’un chèque.

Lors de l’inscription, trois euros sont automatiquement crédités sur votre compte Igraal.

Igraal propose aussi une grande quantité de codes réductions.

Je n’ai jamais effectué de commandes d’un montant très élevé. Donc, je ne sais pas ce qu’il en est niveau Cashback dans ces cas précis.

CD, Vinyle, dématérialisé ?

Lorsque l’on est grand amateur de musique, une interrogation est susceptible de traverser l’ esprit :

-De quelle manière écouter nos albums favoris ?

Cela peut se faire de plusieurs manières, en fonction du support ou format pour lequel l’on a décidé d’opter. Il y a le CD, le Vinyle, le dématérialisé et l’antique bande magnétique plus connue sous l’appellation cassette audio.

Je privilégie le CD audio, qui est pour moi le meilleur compromis Qualité/Robustesse. Les aficionados des 33/45 tours rétorqueront probablement que le son proposé par ces galettes est plus chaleureux et que la consultation des pochettes est plus conviviale et plus confortable. Mais le disque vinyle est bien plus fragile, encombrant et s’use progressivement lors de chaque lecture.

Et en ce qui concerne la cassette audio, peu de points positifs. Cette dernière se révéla fort pratique lors des premiers enregistrements domestiques. Mais sa très faible durée de vie, son usure à chaque utilisation, sa piètre fiabilité ont provoqué son abandon au profit du dématérialisé sous forme de fichiers numériques.

Les fichiers numériques ont un argument choc : le côté pratique. Le fait de pouvoir avoir de nombreux albums stockés dans un baladeur ou un smartphone est très appréciable.

J’allais oublier l’écoute en streaming. Mais ce genre de sites a quoi qu’on en dise, un catalogue de titres plutôt restreint. Ce qui implique le fait d’accepter d’évincer des albums passés à la trappe ou considérés comme peu rentables.

Mais posséder mes albums favoris en CD me permet à n’importe quel moment d’encoder de nouveau mes morceaux et oeuvres préférés en cas de problème de mémoire flash ou de disque dur.

Donc, longue vie au CD et au Vinyle, objets qui n’ont pas encore disparu de la circulation.

Consoles ou PC ?

Et oui, il faut bien se divertir de temps en temps. Après avoir longtemps joué sur PC tout en dénigrant les consoles portables et de salon sans même avoir pris le temps de les tester, la tendance s’est inversée lorsque le problème suivant s’est présenté :

Qui ne s’est jamais retrouvé dans la situation suivante, à savoir installer un jeu qui fonctionnait très bien sur une version antérieure de windows et qui refuse de s’exécuter sur une version récente du système d’exploitation de la firme de Redmond, cela à cause d’un souci au niveau de la rétrocompatibilité entre les différentes moutures ?

C’est pourquoi, il y a deux ans, j’ai décidé de tester une première console de jeux qui a pour nom PSP. Contre toutes attentes, j’ai été séduit par la bête.

Puis, j’ai renouvelé l’expérience, cette fois avec la ps3. Désormais, je n’envisage pas de jouer autrement qu’avec une manette et sur consoles.

Le principal argument qui a modifié ma vision des choses est le fait que le problème rencontré sur PC n’existe pas sur les consoles vu que le système d’exploitation de ces dernières est simplement mis à jour. Et les ludothèques des appareils de chez Nintendo, Sony et Microsoft sont bien plus riches et proposent de nombreux titres qui ne disposent pas d’éditions PC.

Moteur de recherches : alternatives à google, bing, yahoo !

Outil indispensable pour toute requête sur internet, le moteur de recherches a souvent pour nom celui du géant américain Google. Il existe bien évidemment les mondialement connus que sont Bing (Microsoft) et Yahoo. Mais ils ne sont pas les seuls services du genre. Tant et si bien que nombreux sont ceux et celles qui ignorent l’existence d’alternatives qui remplissent très bien leur rôle et sont tout aussi efficaces que ces derniers.

Il y a ixquick. Argument de poids face à ses concurrents : il n’enregistre pas les activités des utilisateurs ni les adresses IP et n’enquiquine pas les visiteurs avec des publicités intrusives. Vu que la question de la vie privée sur le réseau des réseaux prend de plus en plus d’importance, cela n’est pas négligeable.

Autre joyeux luron, duckduckgo. Tout comme ixquick, duckduckgo n’espionne pas ses utilisateurs, ne les traque pas et ne les inonde pas de publicités ciblées.

Il y a trois ans et demi, j’ai décidé de me soustraire à l’hégémonie des trois mastodontes au profit des deux marginaux. Je ne regrette pas mon choix.

Si vous en connaissez d’autres, vous pouvez, si vous le souhaitez, les indiquer via les commentaires.

La pérennité des données numériques

La démocratisation des ordinateurs qui a eu lieu ces trente dernières années pose un problème de taille, à savoir la pérennité des données numériques créées par chaque utilisateur et le choix des formats de fichiers associés. Et donc, formats ouverts ou propriétaires ?

En ce qui me concerne, je privilégie les formats ouverts comme le .odt (format libre utilisable via libre office writer par exemple), le flac (format sonore libre sans compression). En procédant de la sorte, j’éprouve un sentiment de liberté et je pourrai ainsi consulter mes archives dans les mois et années à venir.

Lorsque l’on mise sur les formats propriétaires et donc fermés, comme le .doc (type de fichier mis au point par Microsoft qui a évolué en .docx) ou le mp3 (format sonore avec compression propriétaire mis au point par Thomson et le fraunhofer institute), on se retrouve à la merci des éditeurs de logiciels qui proposent ces alternatives. Et qu’en est-il de la rétrocompatibilité entre plusieurs versions d’un même logiciel ? Comment être certain d’avoir accès à nos propres documents vu que l’on ne sait pas si les entreprises qui commercialisent les produits en question existeront ou non dans dix, vingt, trente ans ou plus ?

Malheureusement, les formats propriétaires sont pour le moment bien plus populaires que leurs équivalents libres et ouverts. J’espère vraiment que la tendance s’inversera.

Ce qui entre aussi en ligne de compte, c’est la question des supports de stockage. En dehors des disques SSD et de la mémoire flash en général, nous sommes assurés d’avoir la possibilité d’accéder à nos sauvegardes durant quelques années, qu’elles aient été effectuées sur des disques durs à plateaux ou sur cd/dvd vierges. Même si les graveurs de cd/dvd n’ont plus autant la côte que vers la fin des années 90 et début des années 2000, les supports inscriptibles compatibles n’ont pas pour autant disparus de la circulation.