Archives pour la catégorie Astuces

Quelques petites astuces utiles.

Brother DCP-j125 et Archlinux

dcpj125Si vous possédez un Brother DCP-j125, multifonction jet d’encre, vous avez peut-être rencontré des difficultés pour le faire fonctionner sous archlinux ou autres distributions basées sur arch.

Pour la partie imprimante, il suffit de procéder comme ceci :

1/Ajouter l’utilisateur dans les groupes lp et lpadmin avec ces commandes, dans le terminal :

gpasswd -a utilisateur lp

gpasswd -a utilisateur lpadmin

2/Installer le pilote :

yaourt -S brother-dcpj125

3/Installer une dépendance indispenable (vérifier que le dépôt multilib est activé dans le fichier pacman.conf en enlevant le # devant les deux lignes correspondantes  :

yaourt -S lib32-libcups

4/Envoyer les fichiers au bon endroit :

Aller dans le dossier /opt/brother/Printers/dcpj125/cupswrapper/

Et si l’environnement de bureau (xfce, gnome, etc…) le permet, effectuer un clic droit et « ouvrir un terminal à cet endroit ».

Ne reste plus qu’à passer en mode root (administrateur) en tapant su puis sur la touche « entrée),  renseigner le mot de passe associé au compte root et terminer par cette commande :

bash cupswrapperdcpj125

Passons maintenant au scanner :

1/La première chose à faire est d’ajouter l’utilisateur dans le groupe scanner :

gpasswd -a utilisateur scanner

2/Installer xsane :

yaourt -s xsane

3/Installer brscan3 :

yaourt -S brscan3

4/Eviter le problème de permission au démarrage d’xsane :

Connecter l’appareil sur un port usb et le mettre sous tension. Puis ouvrir un terminal et taper cette commande :

lsusb

Noter les deux séries de trois chiffres présentes sur la ligne faisant référence à l’appareil.

Taper cette commande :

chmod a+w /dev/bus/usb/première série de trois chiffres/deuxième série de trois chiffres

Une fois toutes ces étapes validées, votre Brother dcp-j125 fonctionnera.

Si vous avez des remarques à formuler ou des d’éventuels oublis à signaler, n’hésitez pas.

QShnTool Split

Comme je suis un grand collectionneur de cds audios et que j’encode mes achats au fur et à mesure, il peut arriver qu’un logiciel d’extraction et d’encodage de cds audios soit paramétré par défaut pour créer un seul fichier qui contient toutes les pistes au lieu d’un par morceau. Et cela s’accompagne souvent d’un fichier .cue, ajouté dans le même dossier que celui où a été sauvegardé le fichier sonore.  En ce qui me concerne, il s’agit du format FLAC.

C’est à ce moment que QShnTool Split entre en scène.

Il suffit de sélectionner le fichier .cue et d’aller dans le menu « File/Fichier » et de cliquer sur « Start Process/Démarrer le processus ».

Il fait très bien son boulot. Par contre, les morceaux extraits à l’aide du fichier .cue n’ont pas les noms des chansons. Il est donc nécessaire de les renommer.

Il n’est bien évidemment pas limité au format FLAC.

Uniquement testé sous archlinux en l’installant via la commande suivante :

yaourt -S qshntoolsplit

Il est disponible sur le dépôt communautaire d’archlinux : AUR

Pour récupérer l’archive qui contient les sources,Télécharger l’archive

Source de l’image : lien ci-dessus.

Si vous en connaissez d’autres, n’hésitez pas à les indiquer via les commentaires.

BROTHER DCP-7040 et Archlinux

Privilégier une distribution GNU/Linux peut nécessiter un peu de temps pour pouvoir utiliser un multifinction laser monochrome Brother.

Brother propose des paquets .deb et .rpm, ce qui facilite la procédure sur les Debian, Fedora, Ubuntu, CentOs, etc… Mais avec archlinux, la fonction imprimante fonctionne sans problème en tapant cette commande avant d’ajouter la bestiole dans le gestionnaire d’impression :

yaourt -S brother-dcp7040

Pour la fonction scanner, la commande suivante rapporte une erreur :

yaourt -S brscan3

Le message d’erreur indique que la version disponible sur le site Brother est différente de celle recherchée par le pkgbuild.

J’ai donc opté pour une installation de dpkg via : yaourt -S dpkg

J’ai téléchargé le .deb de brscan3 disponible sur la page du DCP7040 sur le site de Brother. Et en effectuant la commande ci-dessous, j’ai réussi à installer brscan3.

sudo dpkg -i nom du paquet .deb

Si vous avez un problème de permissions et que xsane n’arrive pas à accéder au scanner autrement qu’en mode root/super utilisateur, il suffit de taper ceci en tant que root :

chmod a+w /dev/bus/usb/première série de trois chiffres/deuxième série de trois chiffres

Les deux séries de trois chiffres peuvent être obtenues via un petit « lsusb ».

Si ces quelques lignes s’avèrent utiles pour d’autres utilisatrices/teurs d’Archlinux et qui possèdent ce modèle ou un du même genre de cette marque, j’en serai ravi.

Fedora GNU/Linux 21 et Brother DCP7040

Suivant la distribution GNU/Linux que l’on souhaite privilégier, l’utilisation de périphériques externes pose plus ou moins de soucis. Après de nombreux tests, j’ai enfin déniché la distribution qui prend parfaitement en charge mon Brother DCP7040. Il s’agit de la dernière mouture de la Fedora GNU/Linux, qui porte le numéro 21 et qui est installée sur mon Lenovo g50-30 avec l’environnement de bureau Mate.

Installation de la bestiole :

1/Télécharger le script bash de l’outil d’installation proposé par Brother.

2/Décompresser l’archive.

3/Effectuer un clic droit sur le fichier linux-brprinter-installer-2.0.0-1 et cliquer sur « propriétés ».

4/Aller dans l’onglet « Permissions » et indiquer « lecture et écriture » pour tout le monde et cocher la case qui permet de rendre le script exécutable.

5/Ouvrir le terminal et se loguer en tant que root : su puis le mot de passe associé au compte root.

6/Aller dans le dossier où se situe le script et taper la commande suivante :

bash linux-brprinter-installer-2.0.0-1

7/Le script demande la référence du modèle. Dans le cas qui nous intéresse, il suffit de taper dcp7040.

8/Le script se charge du téléchargement des fichiers .rpm nécessaires listés en réponse à l’étape précédente.

9/Lors de l’installation des fichiers .rpm, le système ajoute automatiquement l’imprimante. Mais cela peut ne pas fonctionner. Il suffit de supprimer l’imprimante ajoutée et de la rajouter en indiquant le chemin du répertoire où se trouve le fichier .ppd, à savoir /usr/share/cups/model

10/En ce qui concerne la fonction scanner, il suffit d’installer xsane et gimp, avec la commande suivante : sudo yum install xsane gimp

11/Pour le moment, scanner un document n’est possible qu’en passant en mode root. Pour palier à cela, une commande :

Après être passé en mode root : gpasswd -a utilisateur scanner (merci à l’ami Fred)

12/Si vous souhaitez profiter de la touche scan du panneau de contrôle de l’appareil, tapez brscan-skey dans le terminal et appuyez sur la fameuse touche. Ensuite, choississez « image » via les flèches noires sur fond blanc et appuyez sur la touche OK. Il ne reste plus qu’à enclencher la touche verte « marche ». Si tout se passe bien, gimp s’ouvrira automatiquement et affichera le document scanné.

Quelle distribution GNU/Linux pour le Lenovo G50-30 ?

Chaque fois que l’on achète un pc portable ou de bureau et que l’on préfère utiliser les systèmes d’exploitation libres, se pose la question de la parfaite comptabilité matérielle.  Mon choix s’est porté sur la dernière mouture en date de la Manjaro GNU/Linux avec l’environnement de bureau Xfce, basée sur ArchLinux.

Pour télécharger le fichier iso, c’est ici :

http://netcologne.dl.sourceforge.net/project/manjarotest/0.8.11/xfce/review/

La version i686 est pour les machines qui renferment un processeur simple coeur (32 bits).

La version x86_64 concerne les ordinateurs dotés de processeurs avec deux coeurs  ou plus (64 bits).

Le seul problème rencontré concernait l’impossibilité d’établir une connexion wifi.  L’origine du souci : un module qui porte le doux nom de « ideapad_laptop » est démarré par défaut et empêche l’utilisation de la carte wifi, cela même si le pilote adéquat est installé. Tant que ce module n’est pas enlevé, un message faisant référence au fait que le wifi est bloqué par un commutateur matériel s’affiche lorsque l’on clique sur l’icône réseau située à droite de la barre des tâches.

Dans le cas présent, le pilote n’était pas installé. Mais avant cela, il faut au préalable virer le module récalcitrant et le placer dans une liste noire. Pour cela, il suffit de taper les commandes suivantes dans le terminal, une fois identifié en tant que root :

-Passer en mode root (super utilisateur) : su (touche entrée) et mot de passe correspondant.

-Virer le module ideapad-laptop : sudo rmmod ideapad_laptop

-Et pour l’ajouter dans la liste noire : echo « blacklist ideapad_laptop » | sudo tee -a /etc/modprobe.d/blacklist-ideapad.conf

Pour terminer, il est nécessaire d’installer le pilote pour la carte wifi broadcom : Il suffit d’aller dans l’outil d’ajout et suppression de logiciels (pamac) et de rechercher « broadcom (sans les guillemets) ». Le noyau de cette version de manjaro étant de la branche 3.16, il faut opter pour le paquet « linux316-broadcom-wl ».

Un petit redémarrage. Et vous aurez enfin accès à votre réseau wifi.

Quelle distribution GNU/Linux pour l’Asus n76vb-t4168h ?

Lorsque l’on n’affectionne pas les systèmes d’exploitation de la firme de Redmond et que l’on souhaite privilégier les environnements libres, on se tourne vers les distributions gnu/linux. Il y a bien évidemment les alternatives BSD.

Mais toutes les distributions ne conviennent pas à un modèle particulier, ici l’Asus n76vb-t4168h, avec lequel est fourni un subwoofer externe Sonic Master.

Après avoir testé Ubuntu 14.04  (pas assez stable et le subwoofer n’est pas pris en charge), Fedora 20 (Subwoofer géré sans aucune manipulation particulière mais les touches qui permettent d’augmenter et réduire la la luminosité du rétroéclairage du clavier ne fonctionnent pas), Debian 7.5 Wheezy (pas de subwoofer), j’ai finalement opté pour opensuse 13.1 64 bits.

Et tout fonctionne avec le caméléon. Je peux bénéficier du son du subwoofer sans modifier quoi que ce soit. Les touches de fonction pour le rétroéclairage du clavier sont gérées nativement.

Seule périphérique pour lequel je n’ai pas installé le pilote propriétaire : la carte graphique nvidia 740m. Donc, je ne sais pas comment se comporte ce dernier sous opensuse 13.1.

Il y a un problème que rencontrent beaucoup de personnes qui possèdent un Asus n Series, à savoir la lecture de bluray via vlc.

Sous opensuse 13.1, il suffit de suivre ces quelques étapes :

1/Ouvrir le terminal et se loguer en tant que root en tapant « su », touche entrée et en tapant le mot de passe administrateur. Une fois cela fait, on commence par effectuer ceci :

mkdir -p ~/.config/aacs/

cd ~/.config/aacs/

wget http://vlc-bluray.whoknowsmy.name/files/KEYDB.cfg

2/Il faut ensuite ouvrir Yast et installer vlc et vlc-codecs.et quitter yast si cela ne se fait pas automatiquement.

3/Il faut à présent aller sur cette page : http://packman.links2linux.org/package/libbluray

Et cliquer sur le bouton « 1 click install » et valider chaque message ou question qui s’affiche.

4/Retournons dans yast et installons « libaacs0″ et « libbluray1″.

5/Etape finale : Insertion d’un bluray dans le lecteur ou graveur. Ouverture de vlc. Une fois dans vlc, il suffit simplement d’aller dans l’onglet « media » du menu et de choisir « ouvrir un disque ». Une fois cette fenètre affichée, il ne reste plus qu’à cocher « blu-ray » et « pas de menus » et vérifier que « /dev./sr0″ est bien présent à la ligne « périphérique disque ».

Et normalement, le film démarre.

Vous pouvez désormais bénéficier de tout ce que votre machine permet de faire.

Afficher la liste des composants d’un pc sous GNU/Linux

Même si la compatibilité matérielle s’améliore d’année en année en ce qui concerne les distributions GNU/Linux, il peut arriver qu’une ou plusieurs référence(s) de composant(s) d’un pc manquent à l’appel.

Mais pas de panique, une commande à utiliser dans un terminal (différents noms en fonction de l’environnement graphique choisi (GNOME, KDE, MATE, XFCE, etc…)) peut vous permettre d’obtenir la ou les information(s) recherchée(s). Son petit nom est « LSHW ».

LSHW signifie » list hardware » ou lister le matériel.

Cette commande est à taper en lettres minuscules. Il est probable que certaines distributions imposent de se loguer en tant que super utilisateur (root) via sudo ou su.

Si vous souhaitez sauvegarder la liste dans un fichier texte, pas de problème. Il suffit de taper :

lshw>nomdefichier.txt

Le fichier texte est normalement enregistré par défaut dans votre dossier personnel.

Disque dur externe en « RAW »

Depuis que la capacité de stockage des disques durs a énormément augmenté, il y a un problème susceptible de pointer son nez : la fameuse mention « RAW », rendant l’accès au contenu de ce dernier très compliqué lorsque l’on utilise une version du système d’exploitation de la firme de Redmond. J’ai été confronté à ce dilemme avec un ancien disque dur externe 3,5 pouces formaté en ntfs. Cela ne s’est jamais produit lorsque j’ai opté pour le fat32, plus ancien mais obsolète.

Il y a une petite astuce qui peut sauver la mise et permettre de récupérer les fichiers importants :

Créer une clé usb multisytem et booter/démarrer sur la clé sans charger le système d’exploitation présent sur la machine.

-Si tout se passe bien, une des distributions GNU/Linux présentes sur la clé se charge.

-Il suffit ensuite de connecter le disque dur récalcitrant sur un port usb et de brancher un autre périphérique de stockage. Ce qui a été transféré au départ sur le disque dur problématique devient visible et accessible (c’est ce qui s’est passé pour moi).

-Il ne reste plus qu’à copier ce que l’on souhaite conserver.

Si vous connaissez d’autres méthodes (tous systèmes d’exploitations confondus), n’hésitez pas à les partager via les commentaires.

Regarder et enregistrer la tv par adsl

Depuis quelques années, la télévision emprunte un autre canal de diffusion, à savoir les tuyaux des différents fournisseurs d’accès à internet. Et après des années de succès pour le magnétoscope, il est possible de regarder et enregistrer des chaînes tv sur nos ordinateurs.

Si vous utilisez ubuntu GNU/Linux et autres distributions dérivées de cette dernière, vous pouvez installer « freetuxtv », qui est présent dans les dépôts de paquets logiciels de ce système d’exploitation.

Si votre environnement logiciel a pour nom Windows ou Osx et que vous avez souscrit à une offre internet Free, il y a un formidable couteau suisse désormais très très connu : VLC Media pLyer, logiciel libre. Il suffit de cliquer sur l’onglet « internet » dans la colonne disponible sur la gauche de la fenêtre principale et de choisir « freebox tv ». Il ne reste plus qu’à effectuer un double clic sur la chaîne souhaitée. Pour enregistrer un programme, il faut passer par la configuration des raccourcis clavier dans les préférences de VLC.

Si vous connaissez d’autres logiciels qui permettent aussi de regarder et enregistrer les chaînes tv par adsl, n’hésitez pas à les indiquer via les commentaires.

Encoder un cd audio au format FLAC

Lorsque l’on possède (c’est mon cas) une certaine quantité de CD, il est souvent nécessaire de procéder à l’encodage de ces derniers afin de pouvoir les écouter en déplacement ou tranquillement par l’intermédiaire d’un baladeur.

Si le mp3 est le plus connu de tous les formats de fichiers audios, il ne convient pas forcément à tout le monde. c’est pourquoi j’ai tendance à privilégier le format FLAC (Free Lossless Audio Codec).

Savoir quel format utiliser n’est pas suffisant. encore faut-il connaître un logiciel compatible avec la qualité recherchée et capable de transformer nos albums favoris comme on le souhaite.

En ce qui me concerne, j’ai opté pour l’application Songbird. Mais comme l’équipe Songbird a des soucis, il vaut mieux télécharger et installer un autre logiciel basé sur ce dernier. Son nom : Nightingale.

Si vous savez encoder vos cds en mp3, pas de problème vu que la procédure est similaire.La seule chose à ne pas oublier avant d’encoder n’importe quel cd avec ce logiciel : installer le plugin « cd ripping », en fonction du système d’exploitation que vous utilisez.

Quand je souhaite faire cela en utilisant une distribution GNU/linux, j’installe « Asunder » ou « ripperx ». Le logiciel de gravure K3b incorpore aussi une fonction pour ce genre de chose.

Si vous connaissez d’autres programmes du même style, n’hésitez pas à les indiquer via les commentaires.